La jardinerie de Gally, expert de la poule et du poulailler en Île-de-France
Avant de nous rendre visite, nous vous invitons à nous contacter par téléphone au 0130146068 et à prendre rendez-vous via le formulaire en bas de page. Sachez que notre responsable animalerie est absent les lundis et jeudis pendant les semaines paires et les mardis et dimanches pendant les semaines impaires. Optez donc pour des rendez-vous les mercredis, jeudis et samedis.
Une histoire familiale
En 1957, Gérard Laureau s’installe à la Ferme de Gally et développe à Bois d’Arcy un élevage de poules pondeuses. Dans les années 1960, la Ferme de Gally exploitait un élevage de poules, produisant jusqu’à 18.000 oeufs par jour ! Aujourd'hui, cet héritage agricole se transmet aux particuliers
Une poule recycle 150kg à 200kg de déchets ménagers par an. Sa fiente, riche en azote, peut être utilisée comme engrais pour fertiliser votre potager. De l’épluchure au légume, la boucle est bouclée !
Une poule pond en moyenne un à deux oeufs en trois jours. Protéines, vitamines E, D et K : les oeufs contribuent à une nutrition équilibrée et fournissent jusqu’à 30% des apports journaliers recommandés en vitamine A !
Elle est source de curiosité et d’éveil pour les enfants.
Source d’équilibre psychologique, le contact avec un animal est un facteur de bien-être avéré. En retour, une poule a besoin d’amour…parce qu’un animal en bonne santé vous le rendra cent fois !
La Rousse
Appelée " poule fermière ", c’est la poule pondeuse par excellence. Curieuse, calme, docile, rustique et robuste, elle est très attachante. Elle mangera dans votre main et n’hésitera pas à pointer le bout de son nez pour obtenir une friandise.
La Leghorn
C’est la Poule élevée à La Ferme de Gally dans les années 60 ! Vive et nerveuse, elle a longtemps été considérée comme " La poule pondeuse ". Elevée en Europe depuis 1875, elle est à l’origine de plusieurs races hybrides. Elle est aujourd’hui menacée, adoptez-là ! Très fière et bien droite sur ses pattes, " fière comme un coq " lui va à merveille. Sa crête retombe.
La Coucou de Rennes
Son plumage lui valut son nom de Coucou, par analogie avec celui de l’oiseau. Cette espèce avait presque disparu il y a quelques années. L’Ecomusée de Rennes l’a réintroduite dans les années 80 et elle revient au goût du jour. Très élégante et rustique mais assez opportuniste, elle ne va pas hésiter à vous picorer les lacets de chaussures par exemple !
La Marans
Au XIIème siècle, les marins anglais, qui faisaient escale à La Rochelle, débarquèrent les coqs rescapés des combats (prisés pour égayer l’isolement en mer). Les poules du marais furent alors croisées avec ces derniers. Au XIXème siècle, elles furent ensuite croisées avec la Langshan, leur donnant leurs caractéristiques actuelles. Elle se familiarise et vit très facilement en communauté avec d’autres races même de petite taille, celles d’ornement par exemple.
La Sussex
Les Anglais la considèrent comme le fleuron des races de Gallinacés. C’est l’une des très rares races pures qui soit encore présente en élevage intensif. Très sociable, elle saura se faire adopter par ses congénères.
La Bantam de Pekin
Elle est souvent appelée " La Pékin " en référence à son origine et son histoire. C’est en tentant de s’emparer du Palais d‘Eté des Empereurs de Chine, au XIXème siècle, que le corps expéditionnaire Franco-Anglais l’a trouvée et rapportée en Europe en guise de butin. Docile mais pleine de vitalité et très familière, elle se fera adopter en famille et s’adaptera parfaitement aux enfants.
La Yokohama
Elle tient son nom du port par lequel elle a été exportée en Europe, au XIXème siècle. Elle fût exposée à Paris en 1864, a conquis l’Empire allemand et a été croisée avec la Phoenix. La race naine vient des Etats-Unis, mais se fait rare. Il s’agit d’une race rare, car ses pontes sont faibles et la poule ne porte que peu d’intérêt à ses poussins. Elle est calme et très familière, mais attention aux envols !
L'Ardennaise
Créée par l’Union Belge en 1904, elle fut exposée en 1913. Elle ressemble à la Gauloise, en miniature. Elle est parfaite pour les petits jardins. Elle s’envole très facilement mais reste fidèle à son poulailler. Elle reconnaît très vite la voix de celui qui la nourrit. Elle saura se faire adopter en famille. Le coq peut se montrer un peu démonstratif pour défendre ses poules ou sa famille.
La Soie
Autrefois, cette poule " angora " fut appelée " nègre " à cause de la couleur de sa peau et " soie " en raison de son plumage. Elle est aussi surnommée " poule à poils " ou " reine des couveuses ". Véritable animal de compagnie, très docile, elle saura vous conquérir avec ses airs malicieux. Très familière, elle préfère la vie en communauté, avec 2 ou 3 poules et éventuellement un coq.
La Hollandaise
Cette race a été créée à partir volailles naines huppées, nombreuses en Belgique, il y a 5 siècles. Elle fut exposée pour la première fois en 1917. Facilement stressée et assez farouche, elle est timide et sensible.
La Padoue
C’est une race connue depuis le XVIIIe siècle. Madame de Pompadour était tombée amoureuse de cette race… on pourrait supposer que de son nom découla celui de ses poules (Pompadour, Padoures, Padoues)… mais rien n’est certain. Elle supporte très bien la captivité, mais on évitera de la mélanger à d’autres races.
L'Araucana
Elle fut découverte chez les indiens Araucans, au Chili en 1880. Elle est issue du croisement de 2 races endémiques d’Amérique : la Collonca (sans queue) et la Quétros (ayant des oreillards). Elle s’apprivoise très bien et n’est pas difficile. Elle prend son temps pour observer son entourage.
La Faverolles
Toujours bien commercialisée après la Seconde Guerre Mondiale, elle avait quasiment disparue dans les années 1960-1970. On la surnomme ‘‘ tête de hibou ’’. Placide et gentille, si l’on prend bien soin d’elle, la Faverolles devient affectueuse.
La Wyandotte
Elle est reconnue en 1883, et importée pour la première fois en Europe en 1890. Très longtemps une des plus populaires des basses-cours, elle a un peu perdu de sa splendeur. Douce et très curieuse, elle s’adapte et s’apprivoise facilement. C’est une poule " routinière " : elle fera toujours son tour de jardin dans le même sens et passera aux mêmes endroits à peu près à la même heure.
La Cochin
D’abord, on l’appelait " poule de Shanghai ", en référence au port chinois duquel on l’exportait en Europe. Elle a été nommée " poule de Cochinchine ou Cochinchinoise ", en 1846, lorsque l’amiral Cecil envoya 6 poules et 2 coqs au ministre de la guerre français. Calme et facile à élever, elle évoluera dans les jardins sans faire de dégâts.
La Brahma
Véritable géante, originaire d’Asie, c’est l’une des plus grandes races présentes dans nos poulaillers. Elle fut importée en Europe vers 1850. D’un tempérament très doux, elle est l’une des plus sociables malgré les apparences faussées par sa grande taille.
La Houdan
Cette race ancienne des Yvelines, reconnue depuis le XIVème siècle, a connu une grande notoriété jusqu’au milieu du XXème siècle. Elle a failli disparaître au profit de races plus productives, mais quelques passionnés l’ont préservée. Ils se retrouvent maintenant tous les ans à la foire de Saint-Matthieu, dans la ville de Houdan. Elle s’apprivoise assez facilement. Elle aime les sols sains et secs.
- céréales : blé, sorgho, avoine, orge, maïs en petite quantité, pois.
- verdures du jardins mais aussi tous les restes de la table, les déchets alimentaires et un peu d’ail.
- féculents : pommes de terres, pâtes ou pain.
- morceaux de coquilles d’huître
Dans le poulailler, les poules mangent, pondent et dorment. Une poule a besoin d'une surface d’1m² de poulailler et de 2m² en extérieur. L'intérieur doit être composé d'un perchoir, d'un pondoir, d'une mangeoire, et d'un abreuvoir. Il est important de veiller à l'orientation, l'humidité, l'aération, et la lumière.
- Remplacez l’eau de l’abreuvoir avec de l’eau fraîche.
- Enlevez un maximum de fientes pour garder un espace propre.
- Nettoyez à fond le poulailler et changez la paille.
- Nettoyez et désinfectez la mangeoire.
- Mettez 1 cuillère de vinaigre de cidre par litre d’eau dans l’abreuvoir. C’est un moyen naturel de garder les poules en bonne santé.
- Nettoyez et désinfectez l’abreuvoir régulièrement.
- Vermifugez les poules, c’est-à-dire, traitez-les contre les infections de vers. Plusieurs médicaments existent.
- Par simple précaution, il faut éviter de consommer les oeufs pondus pendant les 10 jours qui suivent un traitement vermifuge.
Tout sur les poules !
Découvrez l'histoire des gallinacés, comment prendre soin de ses animaux ou aménager son poulailler. Ce livret créé pour les amoureux des poules par les fermiers répond à toutes vos questions.